First Night Gala de l'Opera de Cleveland et de la Fondation Richard Tucker
S'il y avait une justice dans le monde de l'opéra, nous entendrions davantage Gianna Corbisiero, qui a donné à son air « L'Altra Notte » de Arrigo Boito une fascinante intensité à la Callas.
Don Rosenberg
Cleveland Plain Dealer
Violetta Valery avec l'Opéra de Cleveland dans La Traviata
Gianna Corbisiero a chanté une Violetta lumineuse, formant phrase après phrase avec une grande facilité. Sa colorature lyrique nous a fait progresser de telle façon que le passage des roulades frivoles du premier acte aux cris de désespoir de la scène finale semblait inévitable…
Allen Montgomery
Opera News Online
Violetta Valery avec l'Opéra de Cleveland dans La Traviata
La voix de Corbisiero est un instrument fascinant, capable de négocier les défis variés du rôle avec un timbre qui mêle le feu et la glace … Corbisiero a une présence tellement intense et intelligente, qu'elle met toujours en lumière les crises de Violetta. Son ombrageux « Addio del passato » et la scène de la mort ont été profondément touchant.
Don Rosenberg
Cleveland Plain Dealer
Nedda dans I Pagliacci avec L'Opéra de Québec
La soprano est d'une telle sensualité dans le rôle de Nedda que nous devons également saluer son incroyable talent d'actrice comique aussi!
Jocelyne Tourangeau
Planète Québec
Musetta dans La Bohème avec l'Opéra de Montréal
Un des grands atouts de cette production fut Gianna Corbisiero, l’irrésistible Musetta. Sa voix aérienne, rayonnante et son jeu animé dans les actes I et II ont été aussi frappants que la démonstration de sa compassion dans le quatrième.
Ilse Zadrozny
The Montreal Gazette
Festival International du Domaine Forget
Mais soulignons l’intensité de Gianna Corbisiero : cette femme a le sens du drame dans le sang. Son l’Altra notte, du Mefistofele de Boito… nous a tous soufflés. J’ai eu en mémoire la scène finale de Traviata, ou elle était aussi habitée. Sans parler des airs de l’Acte I dans La Bohème, dans la peau de Mimi… prenant et convaincant.
Guy Marceau
La Presse
Gala de L'Opéra de Montréal
Des 25 numéros, je retiens d’abord le duo de la soprano Gianna Corbisiero et du jeune violoncelliste Stéphane Tétreault… de l’air célèbre de Dalila, « Mon cœur s’ouvre à ta voix ». Mme Corbisiero… avec une voix encore étonnante de puissance et d’expression…
Claude Gingras
La Presse